Jiimmy a écrit : ↑10 janvier 2023 23:17Dans la première phrase, "des humains" signifient "un certain nombre mais pas la totalité".
Dans la seconde phrase, "d'humains" signifie "un certain nombre mais pas la totalité".
Dans la seconde phrase, "des humains" signifie la totalité ("DES humains" au sens "tous les humains").
Simple: non.
Pour désigner l'ensemble des humains ou des historiens ou de ce que vous voulez, alors on doit utiliser "LES".
Vous essayez de couper les cheveux en quatre, mais mal.
Quel consensus d'historiens et quelles études génétiques venant corroborer ce consensus expliquent que la majorité des Français n'ont aucun ascendants étrangers aux Gaulois ?
Si vous aviez lu mes messages précédents, vous auriez déjà la réponse.
Pour n'en citer qu'un: Braudel. Lire L'identité de la France.
Mais pour absolument tous les spécialistes de la période, le peuplement du territoire correspondant à la France actuelle est attesté depuis deux millénaires.
Je vais répéter: la population de la Gaule au moment de la conquête romaine est estimée à 10-15 millions, soit autant que sous Louis XIV.
Ces 10-15 millions de personnes ne sont pas tombées dans un trou, ne sont pas retournées sur leur planète à bord de leur vaisseau pyramidal.
Et ils n'ont pas été submergé non plus par des invasions de millions d'individus.
Les études génétiques le confirment:
The Geography of Recent Genetic Ancestry across Europe
Bien sûr que le nombre est hyper important.
Non.
Ce que vous dites est aussi grotesque qu'un gus se disant métis alors qu'il a un ancêtre africain sur 1000 finlandais.
Les études génétiques permettent de détecter les flux significatifs de gènes, elles ont été faites, elles ne voient rien de significatif sur les 1500 dernières années au moins pour la France.
Ce que vous y répondez, ce sont des anecdotes pour tenter de complètement retourner le résultat des études génétiques.
...qu'il y a eu des mélanges avec les autres peuples qui sont venus par la suite.
Ces mélanges ont été marginaux,
comme le montre les études génétiques.
Troisième répétition.