voilà qui est " à peu prêt" réparé, mais bon, elles manque les occasions d'être en phase avec leurs projets.Hdelapampa a écrit : ↑15 septembre 2023 19:09 Bien sûr pas de réponse de Danielle49 qui fait de la mort de Socayna un meurtre un féminicide, alors qu'elle n'était pas visée.
Il concerne des citoyens pas particulièrement des féministes.
Pour ce chauffeur de bus, est-il possible d'attendre encore un peu?
Je regarde deux au moins des grands JT (pas toujours les mêmes) et pour le moment ce sujet n'y a pas été traité.
Concernant les femmes iraniennes, voici ce que dit Clémentine Autain:
https://twitter.com/Clem_Autain/status/ ... 2633421824Sandrine Rousseau elle a été jusqu'à participer à une manifestation de protestation contre l'assassinat de la première victime, où elle s'est faite siffler par une partie des manifestants.En #Iran, le vent de liberté porté par des femmes qui se battent contre l'obligation du port du voile et pour le droit à disposer d'elles-mêmes grossit et fait trembler le régime intégriste. Soutien à ce courage qui se déploie malgré une répression terrible.
https://www.marianne.net/politique/ecol ... eau-setale
Je pense que la presse bourgeoise et les islamophobes en général ne veulent absolument pas entendre (comme certainEs manifestantEs) que le féminisme c'est la défense de la liberté pour les femmes de faire leurs propres choix.
Comment l’instrument d’aliénation rejeté par les unes pourrait-il devenir une matérialisation de l’autonomie des autres ? Invitée de France Inter ce lundi 3 octobre, la députée écologiste de Paris a d'abord répondu à cette équation par l'esquive, puis par le flou idéologique.
Ne tentez pas cet exercice sans un bon échauffement des ischio-jambiers. Invitée de France Inter ce lundi 3 octobre, Sandrine Rousseau, députée écologiste de Paris, s’est livrée à un périlleux grand écart politique : soutenir les Iraniennes dans leur lutte pour s’émanciper du carcan théocratique, symbolisé par le rejet du voile islamique, tout en se battant pour la liberté des femmes de porter ce même voile en France. L’équation se pose en des termes difficiles à concilier : comment l’instrument d’aliénation rejeté par les unes pourrait-il devenir une matérialisation de l’autonomie des autres ?
L’aporie dans laquelle se trouve la militante éco-féministe lorsqu’il s’agit de répondre à cette question épineuse semble lui avoir valu quelques sifflets lors d’une manifestation de soutien aux Iraniennes ce dimanche à Paris, puis une séance de contorsions le lendemain à l’antenne de la radio publique. « Extrêmement respectueuse et impressionnée par le combat que mènent les Iraniennes », Sandrine Rousseau a d’abord tenté d’utiliser l’une de ses bottes secrètes pour expliquer les huées subies la veille : faire passer une critique formulée à son encontre pour une attaque misogyne.
Ce qui n’empêche pas Sandrine Rousseau de considérer que « le féminisme est bien quand il est loin, et que finalement quand il est en France, il est moins acceptable ». Hélas, le même argument ne semble pas s’appliquer à la lutte contre l’aliénation par la religion, que la gauche représentée par Sandrine Rousseau assimile volontiers à une discrimination à l’encontre des musulmanes, dont on voudrait entraver les libertés parce qu’elles sont femmes. Les propos passés de l’écologiste, rappelés à l’antenne par Léa Salamé, vont en ce sens.
Cela implique de défendre le droit des femmes à ne pas porter le voile COMME CELUI A LE PORTER.
Moi, je soutiens la même position que Sandrine Rousseau (plus courageuse et pugnace) et Clémentine Autain sur CE point.
aujourd'hui, il faut réagir et trancher, si t'es a la bourre c'est mort.