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Recovery n'a pas donné une dose létale d'HCQ, sinon les gens seraient morts. Ils ont donné une forte dose lors de la première journée, mais avec une très bonne justification : l'HCQ est antivirale in vitro, mais pas in vivo, car dans un organisme vivant elle est diluée. Donc une forte dose permettrait d'augmenter la concentration d'HCQ dans le corps, en espérant retrouver l'effet antiviral observé in vitro. Ce qui n'a pas été le cas. Recovery a donc conclu que l'HCQ à forte dose n'a pas d'effet sur le COVID en phase avancée (ils ont traité des patients hospitalisés me semble-t-il), et provoque des effets néfastes. Ca n'est pas ce qui a été testé par l'IHU.lotus95 a écrit : ↑15 janvier 2021 13:23Si si, j'ai déjà lu cette sélection très orientée d'études qui ont été en grande partie démontées par les équipes de Raoult et autres scientifiques ; des gros biais dont tu ne parles pas, je me demande même si tu as lu les études ...
ils osent même lister Recovery, l'étude merdique où les auteurs ont confondu 2 molécules et ont délivré une dose létale d'HCQ sur les premières 24h, ah les bouffons
c'est un peu facile de présenter une compilation orientée qui va en droite ligne avec les décisions du gouvernement. Très "objectif" ...
Donc non seulement un choix pourri qui ne prouve rien, mais en plus, du pipi de chat à côté de la centaine d'études qui démontrent l'efficacité.
Quant à mes liens, pas de mauvaise foi stp, Twitter n'est qu'une plateforme, pas un labo d'une part ... et les liens que je poste sont généralement les études elles mêmes ...
Il n'y a pas un médoc pour chaque pet de travers, ce serait certes le rêve de Big Pharma d'engranger du fric à chaque nouvelle maladie, mais il n'y a rien de neuf dans celle là ... tous les symptômes sont soignables avec l'existant, et le plus malin est de ne pas attendre la gravité pour réagir
les symptômes sont d'ailleurs tellement multiples, selon qu'on laisse évoluer la gravité ou non, qu'il n'existera jamais de traitement unique ... et quand on laisse les malades évoluer vers la détresse respiratoire, seuls les respirateurs sont indiqués
Les médecins sont donc tout à fait habilités et indiqués à soigner intelligemment dès les premiers symptômes, d'autant plus qu'ils représentent le 1er rempart des patients. Soigner la cause, c'est recourir à un antiviral non ? en quoi les médecins ne pourraient pas le faire ?
C'est plutôt que tu ne veux pas voir les choses en face et que tu fais semblant ; le simple fait d'avoir organisé une cabale de malade contre Raoult et la chloroquine, d'avoir muselé tous les médecins qui parlaient de combinaison d'antibiotiques, de ne pas avoir communiqué sur la prévention, d'avoir pratiqué l'omerta sur l'ivermectine, l'armoise .................. tout en serinant du matin au soir l'arrivée d'un vaccin messianique, démontre clairement que c'était la seule solution envisagée. De surcroît, l'omniprésence des financements de Bill Gates dans tous les projets de développements et merdias le confirme.
Les problématiques des coronavirus n'ont pas brusquement changé parce qu'on a décidé d'en faire une mayonnaise en 2020, le fait que ce soit un virus très mutant dont les anticorps peuvent être facilitants, qu'on ne sache pas par où attaquer la maladie (protection des organes vitaux, système immunitaire ...) explique en grande partie le fait qu'aucun vaccin n'ait été développé dans le passé ... d'autant plus que les précédentes épidémies ont été trop courtes pour laisser le temps de .... le seul point sur lequel je te rejoins, c'est qu'il y a des thunes à se faire, non pas parce que la maladie est grave, mais parce que ça a été décidé.
Sur l'aromathérapie et autres alternatives, tu ne diverges pas de la suffisance scientifique qui classe systématiquement en gouroutisme tout ce qui échappe au lobby pharma ; ce n'est qu'une histoire de pouvoir et de pognon, les études qui ont scellé le sort de l'homéopathie ont été totalement trafiquées, c'est dire qu'on savait qu'il y avait efficacité ... mais on a tout simplement pas voulu remettre en cause les concepts établis et permettre le développement d'un marché énorme d'utilisateurs satisfaits de ces thérapies.
Je suis très très loin d'être un cas particulier, je peux te dire que toutes les disciplines de la naturopathie ont le vent en poupe, les utilisateurs convaincus n'en ont rien à fiche d'une science dictatoriale qui cherche à imposer des médocs souvent toxiques qui ne soignent que des symptômes en en créant d'autres.
La différence fondamentale d'approche est là, ces alternatives ne se contentent pas de soigner des symptômes et l'individu n'est pas saucissonné en organes et spécialités différentes, l'organisme est vu comme un ensemble et l'accent est bien davantage mis sur les causes des maladies que leurs symptômes
Et ils n'ont pas confondu 2 molécules. C'est visiblement les stagiaires de France Soir qui ont mal traduit ce que disait un membre de l'équipe de chercheurs, et cette mauvaise traduction a été interprétée correctement mais avec, du coup, une mauvaise conclusion par un médecin.
Personne n'interdit aux médecins de traiter les symptômes du COVID avec des médicaments existants et ayant fait leur preuve contre ces symptômes. Mais l'HCQ et l'AZM sont censés s'attaquer à la cause du COVID, pas aux symptômes, et n'ont pas fait leur preuve contre la cause du COVID. Et ce ne sont pas des antiviraux, du moins pas in vivo.
Il n'y a pas eu de cabale contre Raoult, on lui a juste reproché des faits. Les médecins qui parlent d'antibiotiques dans le cas d'une maladie à virus sont à côté de la plaque. Sauf pour traiter une infection bactérienne qui découlerait du COVID. L'ivermectine et l'armoise n'ont pas d'effet prouvé contre le COVID, encore moins que l'HCQ. En plus pour l'ivermectine c'est rigolo ce que tu dis, parce que la seule piste positive qu'on a vient d'un recensement des usages de ce médicament dans plein d'hôpitaux par ... Surgisphere, la boite moisie qui a fournie une base de données louche pour l'étude du Lancet que tu décries à longueur de temps
Oui, bizarrement la fondation de Bill Gates, dont l'un des buts est l'amélioration de la santé mondiale, finance plein de recherches pour lutter contre cette épidémie. Sûrement un complot mondial. Ou alors, on me souffle dans l'oreillette qu'ils font juste leur travail ...
Il n'y a eu aucune autre maladie grave avec une épidémie massive à base de coronavirus depuis le SRAS il y a plus de 15 ans et le MERS il y a 10 ans. Ces épidémies ont permis d'en apprendre beaucoup sur ces virus, et ont lancé la recherche. Mais il n'y a pas eu de raison de développer des vaccins anti-coronavirus avant aujourd'hui, faute de maladie à traiter. Aujourd'hui il y a eu un enjeu dans le développement de vaccin, donc la recherche a développé des vaccins. Donc si, la problématique avec les coronavirus a changé : aujourd'hui on a les connaissances ET la maladie à soigner.
La science considère comme gouroutisme tout ce qui n'a pas de preuve d'efficacité au-delà du placébo. Et autant tu peux défendre l'aromathérapie, qui se base sur de puissants produits chimiques contenus dans des huiles essentielles, ou la phytothérapie, qui utilise les produits chimiques contenus dans les plantes. Autant pour l'homéopathie ... Ce traitement propose de soigner les gens en ne traitant que leurs symptômes (et jamais leur cause). Cela se fait en donnant des produits toxiques provocant les mêmes symptômes que ceux visés. Donc il faut les diluer vu qu'ils sont toxiques, tellement dilués que dans certains cas il n'y a même plus la moindre molécule active. Bref c'est basé sur des théories foireuses, avec une technologie foireuse, et qui, dans les faits, est souvent appliquée en auto-médication ce qui va à l'encontre même de la théorie. C'est donc pour ça que 95% des études sur ce sujet se soldes par "pas plus d'effet qu'un placébo". Par ailleurs l'homéopathie fait gagner des tonnes de thunes aux labos pharmaceutiques qui en produisent. Parce que oui, les petits granules de sucre ne poussent pas dans les arbres.
Que des patients préfèrent se soigner avec des pratiques alternatives ne prouve que ces pratiques ont une quelconque efficacité thérapeutique.