Johan a écrit :
1-Ce coup d'état raté lui a quand même bien profité. De la part de quelqun comme toi, toujours prompt à accuser la CIA de tout les pires complots, y compris contre le peuple américain,
2-je m'étonne que tu ne cries pas au complot de Chavez contre la presse indépendante...
3-Comme quoi, tes indignations sont au service d'une idéologie.
4-Pendant ce temps là, sous la rêgne de Chavez, Caracas a vu la criminalité atteindre des sommets et la ville détient aujourd'hui le taux de meurtre le plus important au monde : 120/100.000 habitants.
1-Tu connais l'USAID, filliale de la CIA qui s'occupe d'aider les opposants aux gouvernements qui se rebellent contre les USA ?
2-Parce qu'il n'y a pas de complot ils n'ont pas respecté les lois, l'attribution des canaux leur est interdite. Essaye d'émettre en france et tu verras, tu vas déchanter si tu n'appartiens pas à une certaine communauté.
3- Absolument pas, je suis contre toute ingérence dans les pays tiers sous prétexte de semer la démocratie quand le but non avoué est tout autre et quelque soit le bord.
4-C'est un des rares points noirs de sa politique, a analyser de plus près, parce les opposants au régime peuvent très bien orchestrer cela en douce et les occidentaux n'y voyent que du feu (parce qu'ils ne veulent pas voir).
Le plus scandaleux, dans l’actuelle campagne de diffamation, c’est de prétendre que la liberté d’expression serait bridée au Venezuela. La vérité c’est que le secteur privé, hostile à Chavez, y contrôle largement les médias. Chacun peut le vérifier. Sur 111 chaînes de télévision, 61 sont privées, 37 communautaires et 13 publiques. Avec cette particularité que la part d’audience des chaînes publiques n’est que de 5,4%, celle des privées dépassant les 61%
Même chose pour la radio. Et 80% de la presse écrite sont contrôlés par l’opposition ; les deux quotidiens les plus influents
- El Universal, El Nacional - étant hostiles au gouvernement. Tout est, certes, loin d’être parfait dans le Venezuela bolivarien. Où existe-t-il un régime parfait ?
Mais rien ne justifie ces campagnes de mensonges et de haine. Le nouveau Venezuela est la pointe avancée de la vague démocratique qui a balayé les régimes oligarchique de neuf pays dès le lendemain de la chute du mur de Berlin quand d’aucuns annonçait « la fin de l’histoire » et « le choc des civilisations » comme seuls horizons pour l’humanité.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."