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On en reparlera après les élections et je vous dirai si personne n'en veut. A mon avis c'est plutôt la macronie qui grattera le fond de la poubelle pour essayer de trouver quelques électeurs encore un peu naïfs et béats.
vous voulez dire les postes européens où vous votez tout non, même dans l’intérêt et des français et où vous inculpés de fraude?gare au gorille a écrit : ↑28 mars 2024 00:44On en reparlera après les élections et je vous dirai si personne n'en veut. A mon avis c'est plutôt la macronie qui grattera le fond de la poubelle pour essayer de trouver quelques électeurs encore un peu naïfs et béats.
Bon Dieu je ne sais pas à quoi vous carburez le soir mais ça devient grave.Fonck1 a écrit : ↑28 mars 2024 00:56vous voulez dire les postes européens où vous voyez tout non même dans l’intérêt et des français et où vous inculpés de fraude?gare au gorille a écrit : ↑28 mars 2024 00:44
On en reparlera après les élections et je vous dirai si personne n'en veut. A mon avis c'est plutôt la macronie qui grattera le fond de la poubelle pour essayer de trouver quelques électeurs encore un peu naïfs et béats.
non c'est juste une autocorrection de téléphone, mais vous n'êtes juste pas assez intelligent pour le comprendre.gare au gorille a écrit : ↑28 mars 2024 01:10Bon Dieu je ne sais pas à quoi vous carburez le soir mais ça devient grave.
gare au gorille a écrit : ↑28 mars 2024 00:20
C'est une dame de conviction qui a tout essayé, elle explique qu'elle n'a pas trouvé au sein des Républicains de personnalité qui ait suffisamment de courage politique pour redresser la France et bâtir l'Europe des Nations qui s'impose, elle a essayé la macronie, un échange de SMS avec le président Macron. Dans son dernier échange elle demandait au président " Est ce que vous voulez agir ou pas" mais l'action dans la macronie se résume à des palabres et de la com et surtout à "ne pas faire le jeu de l' Extrême droite" .
Une essayiste qui parle de chaos migratoire ne peut avoir sa place au sein du parti de tous les dénis qu'est Renaissance.
Le fait qu'elle se tourne vers le Rassemblement National est d'une logique absolue.
Horiel a écrit : ↑28 mars 2024 12:40gare au gorille a écrit : ↑28 mars 2024 00:20
C'est une dame de conviction qui a tout essayé, elle explique qu'elle n'a pas trouvé au sein des Républicains de personnalité qui ait suffisamment de courage politique pour redresser la France et bâtir l'Europe des Nations qui s'impose, elle a essayé la macronie, un échange de SMS avec le président Macron. Dans son dernier échange elle demandait au président " Est ce que vous voulez agir ou pas" mais l'action dans la macronie se résume à des palabres et de la com et surtout à "ne pas faire le jeu de l' Extrême droite" .
Une essayiste qui parle de chaos migratoire ne peut avoir sa place au sein du parti de tous les dénis qu'est Renaissance.
Le fait qu'elle se tourne vers le Rassemblement National est d'une logique absolue.
Bonjour Gare au Gorille (vous aussi, vous aimez Brassens ?),
je crains que le grand écart en matière de choix politiques qui existe entre Renaissance, même dans sa frange la plus droitiste, et le RN ne vous démente sèchement.
Cette dame a appelé au moins trois fois l'Elysée pour un strapontin au gouvernement, puis se retrouve n°2 le mois suivant, sur la liste RN des Européennes.
Elle se ment si elle pense influer la politique française depuis Bruxelles, mais après tout... Elle soutenait précédemment Fillon.
Peut-être est-elle intelligente, elle est en tous cas opportuniste; ce qui est certain, c'est qu'elle est prête à bouffer à tous les râteliers et rejoint parfaitement Bardella & Co. dans la joyeuse confusion entre élections Européennes et présidentielles.
Nous ne sommes pas aux USA. Il n'y a pas de scrutin de mi-mandat en France.
tres juste ,, elle soutenait Fillon ,(celui qui aime sa femme) et qui en croque chez les RussesHoriel a écrit : ↑28 mars 2024 12:40gare au gorille a écrit : ↑28 mars 2024 00:20
C'est une dame de conviction qui a tout essayé, elle explique qu'elle n'a pas trouvé au sein des Républicains de personnalité qui ait suffisamment de courage politique pour redresser la France et bâtir l'Europe des Nations qui s'impose, elle a essayé la macronie, un échange de SMS avec le président Macron. Dans son dernier échange elle demandait au président " Est ce que vous voulez agir ou pas" mais l'action dans la macronie se résume à des palabres et de la com et surtout à "ne pas faire le jeu de l' Extrême droite" .
Une essayiste qui parle de chaos migratoire ne peut avoir sa place au sein du parti de tous les dénis qu'est Renaissance.
Le fait qu'elle se tourne vers le Rassemblement National est d'une logique absolue.
Bonjour Gare au Gorille (vous aussi, vous aimez Brassens ?),
je crains que le grand écart en matière de choix politiques qui existe entre Renaissance, même dans sa frange la plus droitiste, et le RN ne vous démente sèchement.
Cette dame a appelé au moins trois fois l'Elysée pour un strapontin au gouvernement, puis se retrouve n°2 le mois suivant, sur la liste RN des Européennes.
Elle se ment si elle pense influer la politique française depuis Bruxelles, mais après tout... Elle soutenait précédemment Fillon.
Peut-être est-elle intelligente, elle est en tous cas opportuniste; ce qui est certain, c'est qu'elle est prête à bouffer à tous les râteliers et rejoint parfaitement Bardella & Co. dans la joyeuse confusion entre élections Européennes et présidentielles.
Nous ne sommes pas aux USA. Il n'y a pas de scrutin de mi-mandat en France.
Corvo a écrit : ↑30 mars 2024 06:3717 OCTOBRE 1961, LE RÉVISIONNISME DU RN.
La portée symbolique du vote aurait mérité une plus forte présence parlementaire. Mais malgré l’hémicycle clairsemé, les députés ont adopté une résolution condamnant le massacre d’Algériens, le 17 octobre 1961, venus manifester pacifiquement malgré le couvre-feu qui leur était imposé. « Une répression sanglante et meurtrière » qui a fait entre 30 et plus de 200 victimes selon les historiens, « commise sous l’autorité du préfet de police, Maurice Papon ». Si le texte ouvre la voie à l’instauration par le gouvernement d’une journée de commémoration, il acte surtout la reconnaissance de la responsabilité de la France dans un des épisodes les plus sinistres de son histoire. Enfin, est-on tenté d’ajouter, même si on peut regretter que la notion de « crime d’État » ait été retirée du texte.
Les députés ont donc accompli l’indispensable devoir de mémoire et de vérité qui leur incombait. Mais derrière cette approbation majoritaire, le vote a également démontré que la droite et surtout l’extrême droite étaient, soixante-trois ans après les faits, toujours incapables de regarder l’histoire de la guerre d’Algérie en face. Si l’abstention des Républicains apparaît comme une dérobade ou pire une lâcheté, l’opposition véhémente du Rassemblement national fustigeant une « instrumentalisation politique » et allant jusqu’à contester la réalité, n’est rien d’autre qu’un révisionnisme.
Certes, il y a du cynisme dans l’attitude du RN qui tient à se présenter en premier défenseur des forces de l’ordre et ne veut probablement pas se couper d’un « électorat pied-noir », notamment dans le sud du pays, encore marqué par le traumatisme de l’exil. Il y a sans doute aussi la volonté de ne pas perdre la guerre de la mémoire après avoir perdu à plate couture celle de l’Histoire. Mais cette position est avant tout conforme à la nature politique profonde du mouvement fondé par Jean-Marie Le Pen, à propos duquel Pierre Vidal-Naquet écrivait : « Ce serait diffamer que dire de lui qu’il n’a pas torturé ». En réalité, descendant direct des généraux putschistes, de l’OAS et de tous les nostalgiques de l’Algérie française, le parti que dirige aujourd’hui Marine Le Pen campe sur ses positions originelles : celles de la vieille extrême droite. Elles ont au moins pour vertu de mettre au jour une partie de son vrai visage, derrière le masque de la normalisation ou de la dédiabolisation.
https://www.charentelibre.fr/editorial/ ... 144630.php
C'était bien De Gaulle qui était au pouvoir en 1961, non ?Corvo a écrit : ↑30 mars 2024 06:3717 OCTOBRE 1961, LE RÉVISIONNISME DU RN.
La portée symbolique du vote aurait mérité une plus forte présence parlementaire. Mais malgré l’hémicycle clairsemé, les députés ont adopté une résolution condamnant le massacre d’Algériens, le 17 octobre 1961, venus manifester pacifiquement malgré le couvre-feu qui leur était imposé. « Une répression sanglante et meurtrière » qui a fait entre 30 et plus de 200 victimes selon les historiens, « commise sous l’autorité du préfet de police, Maurice Papon ». Si le texte ouvre la voie à l’instauration par le gouvernement d’une journée de commémoration, il acte surtout la reconnaissance de la responsabilité de la France dans un des épisodes les plus sinistres de son histoire. Enfin, est-on tenté d’ajouter, même si on peut regretter que la notion de « crime d’État » ait été retirée du texte.
Les députés ont donc accompli l’indispensable devoir de mémoire et de vérité qui leur incombait. Mais derrière cette approbation majoritaire, le vote a également démontré que la droite et surtout l’extrême droite étaient, soixante-trois ans après les faits, toujours incapables de regarder l’histoire de la guerre d’Algérie en face. Si l’abstention des Républicains apparaît comme une dérobade ou pire une lâcheté, l’opposition véhémente du Rassemblement national fustigeant une « instrumentalisation politique » et allant jusqu’à contester la réalité, n’est rien d’autre qu’un révisionnisme.
Certes, il y a du cynisme dans l’attitude du RN qui tient à se présenter en premier défenseur des forces de l’ordre et ne veut probablement pas se couper d’un « électorat pied-noir », notamment dans le sud du pays, encore marqué par le traumatisme de l’exil. Il y a sans doute aussi la volonté de ne pas perdre la guerre de la mémoire après avoir perdu à plate couture celle de l’Histoire. Mais cette position est avant tout conforme à la nature politique profonde du mouvement fondé par Jean-Marie Le Pen, à propos duquel Pierre Vidal-Naquet écrivait : « Ce serait diffamer que dire de lui qu’il n’a pas torturé ». En réalité, descendant direct des généraux putschistes, de l’OAS et de tous les nostalgiques de l’Algérie française, le parti que dirige aujourd’hui Marine Le Pen campe sur ses positions originelles : celles de la vieille extrême droite. Elles ont au moins pour vertu de mettre au jour une partie de son vrai visage, derrière le masque de la normalisation ou de la dédiabolisation.
https://www.charentelibre.fr/editorial/ ... 144630.php
Foutez la paix à Anne qui n'est plus là pour me répondre. Si Anne était encore de ce monde elle, sans trop vouloir m'avancer, vous dirait tout le bien qu'elle pense du général de Gaulle. En 1961 j'avais 12 ans mon père était encore policier je vivais à Sarcelles "terre d'accueil" des pieds-noirs....pieds noirs qui sont devenus et qui pour quelques uns sont restés des amis alors vos leçons à deux balles je vous laisse deviner dans quel endroit de votre individu vous pouvez vous les carrer.gare au gorille a écrit : ↑30 mars 2024 15:28Corvo a écrit : ↑30 mars 2024 06:3717 OCTOBRE 1961, LE RÉVISIONNISME DU RN.
La portée symbolique du vote aurait mérité une plus forte présence parlementaire. Mais malgré l’hémicycle clairsemé, les députés ont adopté une résolution condamnant le massacre d’Algériens, le 17 octobre 1961, venus manifester pacifiquement malgré le couvre-feu qui leur était imposé. « Une répression sanglante et meurtrière » qui a fait entre 30 et plus de 200 victimes selon les historiens, « commise sous l’autorité du préfet de police, Maurice Papon ». Si le texte ouvre la voie à l’instauration par le gouvernement d’une journée de commémoration, il acte surtout la reconnaissance de la responsabilité de la France dans un des épisodes les plus sinistres de son histoire. Enfin, est-on tenté d’ajouter, même si on peut regretter que la notion de « crime d’État » ait été retirée du texte.
Les députés ont donc accompli l’indispensable devoir de mémoire et de vérité qui leur incombait. Mais derrière cette approbation majoritaire, le vote a également démontré que la droite et surtout l’extrême droite étaient, soixante-trois ans après les faits, toujours incapables de regarder l’histoire de la guerre d’Algérie en face. Si l’abstention des Républicains apparaît comme une dérobade ou pire une lâcheté, l’opposition véhémente du Rassemblement national fustigeant une « instrumentalisation politique » et allant jusqu’à contester la réalité, n’est rien d’autre qu’un révisionnisme.
Certes, il y a du cynisme dans l’attitude du RN qui tient à se présenter en premier défenseur des forces de l’ordre et ne veut probablement pas se couper d’un « électorat pied-noir », notamment dans le sud du pays, encore marqué par le traumatisme de l’exil. Il y a sans doute aussi la volonté de ne pas perdre la guerre de la mémoire après avoir perdu à plate couture celle de l’Histoire. Mais cette position est avant tout conforme à la nature politique profonde du mouvement fondé par Jean-Marie Le Pen, à propos duquel Pierre Vidal-Naquet écrivait : « Ce serait diffamer que dire de lui qu’il n’a pas torturé ». En réalité, descendant direct des généraux putschistes, de l’OAS et de tous les nostalgiques de l’Algérie française, le parti que dirige aujourd’hui Marine Le Pen campe sur ses positions originelles : celles de la vieille extrême droite. Elles ont au moins pour vertu de mettre au jour une partie de son vrai visage, derrière le masque de la normalisation ou de la dédiabolisation.
https://www.charentelibre.fr/editorial/ ... 144630.php
Boff, les Français ont déjà beaucoup à faire avec le monde actuel et les guerres en cours qui pourrissent déjà le monde, est il si judicieux de revenir sur des évènements qui ont été tragiques pour tous les protagonistes de l'époque sans exception.
Les gens ne sont pas nostalgiques de l'Algérie française, par contre encore beaucoup sont nostalgique du pays ou ils sont nés et qui étaient le leur.
Anne n'est plus la pour vous remettre à votre place, vous qui n'avez rien connu et qui venez ici parler à leur place.