Dernier message de la page précédente :
Vos sources sont toutes issues du même site antivax. Vous ne prenez que les sources qui vous arrangent, ne lisez pas les jugements et ne tirez aucun conclusion logique. C'est consternant cet aveuglement.lotus95 a écrit : Je ne perdrai pas plus de temps en argumentation point par point, non pas parce que je n'en ai pas, mais parce que c'est un dialogue de sourds.
Vous avez une confiance aveugle en la science et la médecine ; chez moi, elle est plus relative parce que je suis bien consciente que tout est régi par l'appât du gain, le plus compliqué étant bien sûr de faire la part des choses en se documentant le plus possible et via des sources très différentes, parce que nous ne sommes pas des spécialistes, ni vous ni moi.
Il reste tout de même bien évident que lorsque les enjeux sont importants, l'omerta est de règle, très rares sont ceux qui osent s'élever contre le lobby pharmaceutique, d'ailleurs ceux qui le font sont souvent en fin de carrière et ne risquent pas d'être décrédibilisés dans leur fonction ; par conséquent, suivre aveuglément l'opinion dominante n'est pas gage de vérité.
J'en veux pour preuves tous les scandales sanitaires passés ou récents qui ont révélé les failles du système, la puissance des lobbies pharmaceutique ou agro-alimentaire, conjugué à la complicité ou le laxisme des politiques.
c'est là qu'il faut chercher la défiance des français vis à vis des vaccins au lieu de se contenter d'éluder d'un revers de main en qualifiant de débiles parano ou d'anti-vaccins tous ceux qui osent se poser des questions.
l'article en lien illustre bien ce point
http://www.liberation.fr/debats/2017/01 ... in_1544841
En clair, je suis bien davantage contre les pratiques abusives et biaisées que contre la vaccination, au cas où vous ne l'auriez pas compris.
Les vrais sujets de ce débat ne se limitent pas à l'utilité de la vaccination, parce qu'il n'est pas question de la remettre en cause, mais plutôt à la toxicité des adjuvants utilisés d'une part, et d'autre part, aux droits fondamentaux de tout citoyen de décider, accompagné de son médecin, des vaccinations nécessaires à son cas personnel.
Vous vous évertuez à décrédibiliser le Pr Joyeux alors qu'il est loin d'être le seul à tenir cette position ; et parallèlement, vous éludez sciemment une source, faisant état des résultats d'études récentes, on ne peut plus sérieuses, sur la toxicité de l'aluminium qui représente l'un des points centraux des contestations actuelles.
J'en recopie quelques extraits pour montrer qu'on est loin de discours de charlatans :
QUI RECONNAÎT LA TOXICITÉ DE L’ALUMINIUM ?
Les recherches actuelles de l’Unité INSERM des Pr GHERARDI et AUTHIER (Hôpital H Mondor – Créteil – France) le démontrent : l’aluminium n’est pas excrété de l’organisme dans les 2 à 3 semaines. Il persiste au site d’injection du vaccin de longues semaines puis migre dans l’organisme, induisant très probablement de nombreuses pathologies.
La neurotoxicité de l’aluminium est maintenant officiellement reconnue, tant par l’Institut de Veille Sanitaire que par l’Académie de Médecine.
Dès les années 1970, des publications scientifiques ont mis en cause l’adjuvant aluminique dans le développement des allergies. Ces alertes ont amené l’Institut Pasteur à retirer, en 1974, l’aluminium de tous ses produits (vaccins et allergènes), et à le remplacer par le phosphate de calcium, composant naturel de l’organisme.
Certaines autorités sanitaires, tout comme la justice, reconnaissent peu à peu que l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins peut engendrer des effets secondaires graves (voir ci-dessous).
Des chercheurs internationaux témoignent de la toxicité de l’aluminium vaccinal, à l’occasion d’un colloque à l’Assemblée nationale le 22 mai 2014 :UNE PROBLÉMATIQUE INTERNATIONALE
Ces travaux sont repris par le Pr Shoenfeld, référence mondiale dans le domaine de l’auto-immunité. Celui-ci inclue la myofasciite à macrophages dans son « syndrome des adjuvants – ASIA ».
Des cas ponctuels ont été rapportés dans beaucoup d’autres pays. Des chercheurs portugais s’impliquent dorénavant et suivent une cohorte de personnes atteintes de myofasciite à macrophages.
Des chercheurs du monde entier travaillent sur cette question. Sur l’invitation de l’association E3M, ils se sont rassemblées le 22 mai 2014 à l’Assemblée Nationale dans le cadre du colloque : « Aluminium et vaccins : l’expertise internationale nous impose d’agir ». Ils nous apportent leurs témoignages pour nous alerter sur cette toxicité.LA JUSTICE RECONNAÎT LE LIEN ENTRE MYOFASCIITE À MACROPHAGES ET ALUMINIUM VACCINAL
Enfin, la justice a tranché : le Conseil d’État a reconnu le lien entre Myofasciite à macrophages et aluminium vaccinal à 8 reprises (2012, 2013, 2014, 2015)3.
Le Conseil d’État a ainsi établi une solide jurisprudence : « Le lien de causalité entre la vaccination contre l’hépatite B subie par M. L. dans le cadre de l’obligation vaccinale liée à son activité professionnelle et la myofasciite à macrophages dont il souffre, doit être regardé comme établi ; que, par suite, la maladie dont souffre M. L. doit être regardée comme imputable au service. »
D’autres procédures judiciaires sont en cours, pour reconnaître le lien de cause à effet entre vaccination avec aluminium et myofasciite à macrophages.LES AUTORITÉS SANITAIRES ADMETTENT QU’IL FAUT MENER D’AUTRES RECHERCHES
Le Pr Luc Montagnier, virologue et prix Nobel de Médecine, dénonce en 2012 l’inertie des responsables politiques et sanitaires : « Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. (…) J’enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques. »
La FDA (Food and Drug Administration – Agence Sanitaire des USA) écrit en 1987, en conclusion d’une réunion du comité sur les produits allergènes : « On en connaît assez sur l’aluminium pour savoir que l’on ne devrait l’injecter à personne, à moins qu’il n’y ait un réel et raisonnable bénéfice à espérer. »
L’Afssaps (Agence du médicament française) a lancé une étude épidémiologique sur la myofasciite à macrophages (MFM) en 2003, qui laisse penser qu’un lien serait possible entre MFM et aluminium vaccinal. L’Afssaps signale qu’il serait nécessaire de mener une étude complémentaire pour pouvoir vraiment connaître la réalité de ce lien. Mais le Conseil Scientifique de l’Afssaps refuse cette perspective. Aucune recherche ne sera effectuée, aucune prise en charge des malades, aucune alerte en direction du corps médical. Cet avis sera considéré comme « pourri de conflits d’intérêts » par Gérard Bapt, Président de la mission parlementaire sur le Médiator.
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) écrit en 2004 : « L’innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé. Dans la mesure où les adjuvants ont leurs propres propriétés pharmacologiques, susceptibles de modifier l’immunogénicité et la sécurité des vaccins, l’évaluation de leur innocuité est indispensable. »
L’Agence Européenne du Médicament, en 20084 : « La réponse aux adjuvants n’est pas bien connue, elle peut dépendre de l’âge, et alors que beaucoup de vaccins sont donnés très tôt dans la vie, on ne sait pas quel est l’effet de l’empreinte à long terme sur le système immunitaire des petits enfants. »
CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) : « Le problème que nous avons eu avec le thimérosal est que nous avons examiné chaque question et chaque vaccin par lui-même, mais nous n’avons pas réalisé que dans la vie réelle ce qui se passe est que l’enfant ou l’adulte obtient fréquemment de multiples vaccins, et que lorsque vous ajoutez la dose de thimérosal dans ce calendrier, c’est là que vous avez des problèmes » (Dr. Chen, lors d’une réunion sur les adjuvants entre « autorités de régulation » et « fabricants de vaccins », organisée par la FDA en 2008 aux Etats-Unis).
Le directeur général de Afssaps (Agence du médicament française), Jean Marimbert, écrivait en 2010 au Pr R. Gherardi : « Vos travaux expérimentaux ont été présentés le 30 janvier 2008 à l’Afssaps, qui a considéré que leur poursuite permettrait de mieux caractériser la distribution de l’aluminium vaccinal administré par voie intramusculaire. Le 13 octobre 2010, vous nous avez fait part de résultats complémentaires qui s’avèrent être très intéressants sur le plan fondamental. (…) Par ailleurs, les résultats (…) permettront peut-être à terme d’identifier une sous-population à risque chez laquelle la vaccination aluminique devrait être évitée. »
Mme Bachelot, Ministre de la Santé en 2010 : « Le rôle des sels d’aluminium pourrait être incriminé sous le bénéfice d’études complémentaires. »
Mme Touraine, Ministre de la Santé, s’était engagée en 2012 à remettre sur le marché des vaccins sans aluminium : « De nombreuses études ont alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d’aluminium (…). [Les familles] doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d’aluminium, d’autant plus que cela était le cas jusqu’en 2008 » (lire son courrier à l’association E3M). Elle n’en a pourtant rien fait pendant son mandat…
Extrait de la lettre de Marisol Touraine à l’association E3M, responsable du pôle social de la campagne présidentielle de François Hollande en 2012 :
https://www.vaccinssansaluminium.org/ap ... ntifiques/
Marisol Touraine s'engage pour des vaccins sans aluminium
J'ai pas besoin d'avoir confiance, c'est une question de faits, de méthodologie. J'ai pas d'opinion à avoir ici : soit on est intelligent et on analyse les faits, soit on est crédule et gobons les conneries de charlatans sur le web. Dans un pays ou la moitié des adultes consomment des billes de sucre en croyant que ça les protège de maladies, je ne m'étonne absolument pas que l'on doute d'une invention médicale d'une efficacité avérée.
La soi-disant liberté vaccinale qui n'est qu'un droit à l'irresponsabilité individuelle qui expose les autres au danger, notamment ceux qui ne peuvent pas être vaccinés pour diverses raisons. Une forme d'égoïsme individualiste démonstratif que les gens sont plus préoccupés par leur petite personne que la santé publique. Allez-y, quand vous obtiendrez gain de cause sur la liberté individuelle de ne pas se vacciner, que moins de vaccinations auront lieu et que des maladies rares ou disparues reviendront, j'ose espérer que les plaintes à l'encontre du gouvernement, des autorités sanitaires et autres n'auront pas lieu venant de ceux qui luttaient vaillamment contre cette obligation.
J'vais être cynique : si le peuple a tant envie de se faire du mal, qu'il le fasse.