vivarais a écrit :
non simplement des informations autres que l'information orientée des médias français
il y a par exemple plus d'investissement en GB qu'ailleurs dans l'UE
c'est le plein emploi en GB avec un taux de chômage inférieur à 4%
le pouvoir d'achat a augmenté alors que l'on prédisait la chute de la livre qui est au même niveau de change depuis le référendum
la CITY devait disparaitre alors qu'elle est toujours aussi florissante
voila ce qui s'est passé ces 2 dernières années
attendez de voir qui va remplacer Theresa May
si c'est celui pressenti tout sera réglé avant la fin de l'échéance d'octobre par un NO DEAL si l'UE s'entête sur ses positions
comme pour le RN ou les gilets jaunes , vous pouvez toujours vous bercer d'illusions cela n'y changera rien
Médias Suisse
https://www.bilan.ch/economie/le-patron ... r-ministre
La principale organisation patronale britannique, le CBI, a appelé les prétendants à la succession de Theresa May à écarter un Brexit sans accord, mettant en garde contre ses conséquences "graves" pour les entreprises et l'économie.
Le CBI a prévenu, en forme d'avertissement, que les conservateurs ne pourront se considérer comme le parti des entreprises que si le prochain Premier ministre obtient un accord sur le Brexit.
Attention aux PME
Elle rappelle que la grande majorité des entreprises ne sont pas prêtes à un Brexit sans accord, surtout les PME, compte tenu du coût et de la complexité des préparatifs nécessaires.
La directrice générale du CBI en profite pour inviter tous les candidats à rencontrer le CBI et ses membres, afin d'appréhender le Brexit à partir des risques qu'il représente pour les entreprises.
Les milieux économiques avaient été soulagés en avril du report du Brexit à fin octobre, décidé compte tenu du blocage politique au Royaume-Uni, ce qui évitait l'imminence d'une sortie sans accord, mais ne mettait pas fin à une incertitude nuisible à leurs affaires.
Flou du Brexit
Le flou entourant les contours du Brexit contraint de nombreuses sociétés à augmenter leurs stocks pour se prémunir contre des entraves aux échanges avec le continent.
Cette incertitude plombe dans le même temps l'investissement, les entreprises hésitant avant d'engager de nouvelles dépenses, ce qui ne devrait pas manquer de peser sur la croissance britannique en 2019.
oui , j' ai pris un tantinet les devants Presse Suisse......ils semblent pas disposer des mêmes informations que vous (là , je crois que je peux en mettre qq uns
)