Dernier message de la page précédente :
mais dans le privé, ils ne coutent pas au contribuable donc à l'état.c'est le problème de la boite (même si c'est de moins en moins vrai, on ne peut plus virer personne dans le privé non plus)Stounk a écrit : ↑18 janvier 2020 01:30Des cas, j'en ai connu aussi dans le privé (des gens qui passaient les trois quarts de leur temps en arrêt pour une maladie imaginaire genre dépression ou mal de dos). Donc bon, des feignants, il y en a partout. Mais curieusement, personne ne dit que ces salariés font un métier de privilégié. Alors ça serait bien qu'on nous lâche les bottes cinq minutes. Quand tu vois un Latresne qui semble persuadé qu'on bosse genre vingt heures par semaine, au bout d'un moment, ça gonfle.Fonck1 a écrit : ↑18 janvier 2020 01:27
on en voit pourtant tellement....il y avait un prof d'anglais en fac, qui ne voulait rien faire d'annexe à son travail alors qu'ils ont des obligations administratives, il se vantait fréquemment de faire deux mois de ski décembre janvier....il concentrait ses heures quand ça l’arrangeait et après tout chuss, et à son bronzage, je peux te dire que je n'étais pas du tout étonné !
bon ca reste un cas isolé, mais il y en a des comme ça...et on ne peut rien leur dire.
je suis désolé de te dire ça, mais vous niez plutôt le fait qu'il y a 30% des enseignants qui ne bougent que très peu leur programmes d'années en années.
ils ont donc pas besoin d'en faire une grosse rame.
je vais plus loin, n'ayant pas toujours été bon élève, on retrouvait quelques fois les même exams d'une année sur l'autre mots pour mots....