Alors, si Fonck1 est machiste, je le suis également vu que j'opte pour la même vision de l'histoire. Cela n'a absolument rien à voir avec la liberté de la femme, mais avec la manière dont cette femme tourne cette histoire.Yaroslav a écrit : ↑28 mai 2025 09:07Les femmes font ce qu'elles veulent de leur vie et jamais on imaginerait ainsi des hommes juger et salir ce à quoi passent leur temps d'autres hommes dès lors qu'ils ne nuisent pas à la liberté d'autrui. Vous avez décidément un comportement machiste, haineux et puritain que vous avez beaucoup de mal à admettre.Fonck1 a écrit : ↑27 mai 2025 20:39ha si, désolé.
je suis désolé, mais ces comportements sont inacceptable et donne une très mauvaise image de la femme.
elle donne l'exemple d'une femme vulgaire, édulcorée, simplette, faut l'entendre parler, on voit vite fait qu'elle a pas grand chose dans le cerveau à par son 120D, et c'est un étendard pour toutes les gamines de 15 ans qui vont s'empresser de faire pareil, et qui finir call girl comme elle, croyant que c'est ça la vie.
libre à vous d'y croire.
Vous avez l'humour très sélectif.
Quand vous recherchez différents articles relatant cette affaire, les titres nous donnent le ton : le chauffeur a refusé à la femme de monter dans le bus à cause de sa tenue. Il y a déjà un parti pris en faveur de la femme sans chercher à connaître la version des faits du chauffeur.
Mais en visionnant la vidéo, on a une autre vue de l'événement.
1. La vidéo montre le bus arriver et les portes s'ouvrir. On ne voit pas le visage de l'influenceuse. De ce fait, on peut en déduire que cette dernière tournait le dos au véhicule lors du filmage. La version du chauffeur est plausible, vu qu'il dit que la femme lui tournait le dos et c'est là qu'il a vu que sa jupe était relevée. Là aussi, c'est possible, c'est déjà arrivé aux porteuses de jupe d'avoir leur vêtement relevé et mettre leur sous-vêtement en évidence sans s'en rendre compte. C'est ce qui a très bien pu arriver à cette jeune femme.
2. Une interdiction est toujours suivi d'une interjection : "Sors !", "Dégage !", "Ne monte pas !". Or, la parole du conducteur est introduite par "si", donc il s'agit d'une éventualité ou d'une supposition. "Si tu manges des tomates, fait attention à ne pas te salir". De ce fait, il n'a jamais interdit à cette jeune femme de monter dans le bus. D'ailleurs, on entend très bien son ami dire "On ne monte pas", démontrant ainsi que ces derniers n'ont pas voulu monter. Conclusion : le chauffeur a raison quand il affirme ne leur avoir jamais interdit de monter dans le bus.
3. Les paroles du chauffeur. Celui-ci s'est mal expliqué, se contentant de parler de tenue sans entrer dans les détails. Peut-être que pour lui, c'était une évidence mais pas pour la jeune femme qui a mal interprété ses propos. On peut on déduire que le chauffeur n'a pas été plus loin dans les détails lorsque le compagnon de la jeune femme lui a lancé "On ne monte pas". C'est plutôt à ce niveau-là qu'il y a embrouille.
4. Si la jeune influenceuse s'est senti outré, elle aurait très bien pu aller se plaindre directement à la RATP. Cette dernière aurait convoqué le chauffeur qui aurait donné sa version des faits. Il se serait expliqué afin d'éviter tout malentendu. L'affaire se serait réglé dans l'anonymat, entre la jeune femme, la RATP et le chauffeur. C'est avoir une attitude responsable.
Au lieu de cela, Madame s'est filmé entrain de jouer les victimes et arranger l'histoire à sa sauce pour renforcer son statut de victime. Comme ça, elle a acquis une petite célébrité, se fait de la pub et pleins de followers en plus. Le chauffeur est condamné dès le début sans possibilité de se défendre. La RATP, voyant que cela lui fait une mauvaise publicité n'a pas d'autre choix que de mettre à pied le chauffeur incriminé, histoire de sauver la face.
5. La femme se plaint dans sa vidéo et montre une partie de son short. On se rend compte que ce dernier est tellement relevé qu'on peut le confondre avec une culotte. Imaginez ce que ce doit être au niveau de ses fesses, possible que le short ne cache plus que la raie.
Alors, parfois il faut prendre la peine de décortiquer la vidéo, scène par scène et vous verrez que l'influençeuse a monté en épingle une histoire qui aurait très bien pu se régler dans l'anonymat, et avec les parties incriminées, tout en modifiant le sens de l'affaire pour renforcer sa victimisation.
Elle a effacé la vidéo de son site, il y a bien une raison à cela.
Ce que je reproche à cette influençeuse, est de faire de cette histoire, une justice-spectacle sur les réseaux sociaux alors que cela ne concerne que le chauffeur, la RATP et elle. Si elle se sentait atteinte dans sa dignité de femme, rien ne l'empêchait de porter plainte.