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tu l'ignores ?coincetabulle a écrit : les pensées de qui ?
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J'ai milité 3 ans à DLR, avant d'en sortir il y a peu, donc oui je pense connaitre les propos de ce monsieur.coincetabulle a écrit : j'imagine que tu connais tout les propos de ce monsieur concernant la magistrature donc.
comme l'a souligné fonck1, il y a ce que l'on sait et ce que l'on ne sait pas. encore une fois, ce tableau, même d'un gout douteux n'avait pas vocation à devenir publique.
ben je ne sais pas. tu sembles viser les pensées de quelqu'un en particulier, je me demande bien de qui il s'agit. si tant est que l'affichage de ce mur prouve quoi que ce soit d'autre que la bêtise d'un syndicalisme décérébré.scorpion3917 a écrit : tu l'ignores ?
Il confirme et assume. «Oui, j'ai filmé et j'en suis fier, reconnaît au Parisien.fr Clément Weill-Raynal, journaliste à France 3 et auteur présumé de la vidéo sur le «mur des cons», cet ensemble de photos épinglées dans un local du Syndicat de la magistrature.
Je l'assume pleinement, c'est mon rôle de filmer ce qu'on ne veut pas que je filme !»
Il a filmé ces images avec son téléphone lors d'un entretien avec la présidente du Syndicat de la magistrature, dans un bâtiment annexe au ministère de la Justice. Après l'entretien, il assure avoir eu des doutes, ne pas trop savoir quoi faire de cette bande. Comment a-t-elle été finalement diffusée ?
Clément Weill-Raynal assure ne pas être responsable de la diffusion des images sur le site d'Atlantico. «J'ai montré la vidéo à des proches et j'ai fait une copie à deux personnes, dont un magistrat qui a ensuite transmis la vidéo à Atlantico. Tout ça m'a un peu dépassé mais je suis content que ce soit devenu une affaire publique».
Aujourd'hui menacé de sanctions en interne, le journaliste estime que ce serait «une injustice». «Je n'ai fait que mon métier. Je n'ai pas transmis les images à un autre media. Ceux qui veulent ma tête, comme la CGT, me reprochent en fait d'avoir démasqué cette pratique qui, pour moi, pose un grave problème pour les justiciables».
Une enquête interne a été ouverte à France 3. Certaines personnalités épinglées sur le mur ont déjà porté plainte.
Il a eu raison !tisiphoné a écrit :
c'est le syndicat de journalistes qui est féroce avec lui, genre la déontologie :roll:Jarod1 a écrit : Je trouve aussi.
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), saisi en ce sens par la ministre de la Justice Christiane Taubira, a refusé de rendre un avis concernant l’affaire du «Mur des cons» du Syndicat de la magistrature (SM), selon un communiqué publié mardi sur son site.
Instance de nomination et de discipline des magistrats, le CSM a fait valoir qu’en se prononçant sur ces faits, sa formation plénière, qui s’est réunie le 16 mai pour en délibérer, «excéderait la compétence que lui reconnaît la Constitution».
En rendant un avis, elle «exposerait le Conseil à un risque de blocage institutionnel, s’il devait être saisi de ces faits au titre d’une procédure disciplinaire». Le CSM risquerait alors de faire entorse au principe d’impartialité, ajoute l’instance.
Un document vidéo a mis au jour, fin avril, l’existence d’un «Mur des cons» dans le local syndical du SM, composé de dizaines de clichés de personnalités du monde politique, médiatique et judiciaire. La découverte de ce mur de photos a suscité de vives réactions et l’annonce d’actions en justice par plusieurs des personnalités mises en scène sur ce mur.
S’il appartient au CSM de «définir (...) les devoirs qu’impose aux magistrats l’exercice de leurs fonctions (...), cette compétence ne peut lui permettre de se prononcer sur une affaire particulière», explique le Conseil.
Source : Le point.Le journaliste Clément Weill-Raynal, auteur des images du "Mur des cons" filmées au Syndicat de la magistrature (SM), a été mis à pied pour une durée de sept jours par la direction de France Télévisions, a-t-il annoncé. Sa mise à pied "prend effet à partir de demain, mercredi 12 juin", précise-t-il en dénonçant "une sanction injuste prise pour des motifs politiques". La direction de France Télévisions reproche à Clément Weill-Raynal d'avoir manqué de "loyauté" et de ne pas les avoir "informés" qu'il était "l'auteur des images" de ce "Mur des cons" au siège du SM, où figuraient les photos de ceux ou celles qui avaient tenu des propos considérés comme hostiles au SM et qui avaient provoqué un scandale. "En vertu de la loi sur la protection des sources des journalistes, je n'avais pas à informer ma direction que j'étais l'auteur des images", assure le journaliste, qui "envisage de contester par les moyens légaux la sanction de mise à pied"
je suppose qu'ils sont dans leur droit, mais c'est effarant que le seul qui trinque dans cette histoire ce soit celui qui l'a dénoncée.Leonee a écrit : Source : Le point.
Je suis d'accord. Selon moi la sanction est incontestablement politique et idéologique.tisiphoné a écrit : je suppose qu'ils sont dans leur droit, mais c'est effarant que le seul qui trinque dans cette histoire ce soit celui qui l'a dénoncée.